- (chasing happiness) -

charles hartley feat joe jonas

naissance : vingt-huit ans, né le dix-sept juin ici même à fort myers.

origines, nationalités : américain jusqu'au bout des ongles, il n'y a aucun doute lorsqu'on le voit célébrer le forth of july en grandes pompes.

statut civil, orientation : Célibataire, ce n'est pas à défaut de ne pas avoir cherché. Il s'est perdu entre bien des bras et bien des draps, mais jamais elle n'était la bonne. Alors, il a quelque peu baissé les bras, a cessé de chercher. Il se dit que s'il est fait pour ça, l'amour lui tombera dessus un jour ou l'autre.

situation financière : $$$$$$, il a une fortune bien plus grande que ce à quoi il aurait pu rêver. Trop d'argent pour tout garder, alors il redonne, Chuck. À ses parents qui ont beaucoup, trop donné pour leurs enfants sans rien demander en retour. À des organismes qui lui tiennent à coeur, qui ont besoin de cet argent bien plus que lui. Et malgré tout, il réussi tout de même à entretenir un rythme de vie plus que confortable.

occupation : Une force de caractère incroyable, un sourire qui en a fait fondre plus d'une, une voix que certains ont dit descendre des cieux, mais avant tout une passion plus grande que tout, voilà ce qui lui a permis de se tailler une place dans ce monde impitoyable qu'est celui de la musique. Il se sait terriblement chanceux, bien qu'il ait travaillé sans relâche pour en arriver là, de pouvoir vivre de sa passion, de sa musique, de réussir à faire vibrer les foules.

situation familiale : Papa et maman, un vrai modèle de relation solide, sérieuse qui a su passer l'épreuve du temps - et la naissance de quatre enfants. Il y a tout d'abord eu Leandre, qui est devenu, avec le temps, le grand frère bienveillant, mais très souvent agacé d'avoir ses frères dans les environs alors qu'il ne voulait qu'une chose, la paix. Il a du s'y résigner éventuellement à vivre en paix parce que Charles, que tous surnomment Chuck maintenant, est arrivé quelques années plus tard. Un petit frère dont Matthew ne voulait pas aux premiers abords. Une complicité s'est pourtant installée au fil du temps. Puis, il y a eu les jumeaux. James et Elizabeth. Arrivés trois ans après Charles. Il s'amuse à les appeler gamins, et eux lui rappellent qu'il est l'enfant du milieu. Mais l'enfant du milieu s'en est plutôt bien tiré, pas vrai?

à fort myers depuis : Toujours. Enfin, il l'a quittée de temps en temps, mais est toujours revenu vers elle au final.

Marie
vingt-sept ans
montréal
bazzart
personnage inventé

one two

Bon vivant, il ne dit jamais non à une soirée entre amis. (Il est toujours en charge d'amener la bière parce qu'on dit qu'il a bon gout en la matière. Jusqu'à maintenant, il n'a jamais déçu.) Créatif, ça va de soi, il se passionne pour tous types d'art. Il n'était pas rare, lorsqu'il était en tournée et qu'il avait un peu de temps libre, qu'il s'en serve pour visiter les musées et s'imprégner de l'art local et de l'architecture. On l'a parfois vu, au grand damn du personnel en charge de sa sécurité, terminer la soirée avec une bière à la main dans un bar local ou était organisé un open mic. Juste parce qu'il avait envie de voir ce que la ville avait à offrir. Homme de famille, il est très proche de ses parents. Peut-être il est fils unique - il aurait bien aimé avoir des neveux et nièces à couvrir de cadeaux - mais ce sont les autres enfants de la famille qui en profitent. Toujours il s'assure de revenir de tournée avec quelque chose pour chacun d'entre eux, un petit truc représentatif d'une des villes qu'il a visité, quelque chose de différent pour chacun. Il a également un grand coeur et s'il a gagné une somme considérable d'argent au cours de sa carrière, il a également beaucoup redonné à sa communauté et aux oeuvres caritatives qui lui tiennent à coeur. Mais comme tout le monde ne peut pas être que gentil et rose, il peut se montrer un peu diva. On dira sans doute que le succès lui est monté à la tête et il a de ces moments ou il s'imagine que tout lui est du. Il revient généralement sur terre au bout d'un moment et réalise qu'il n'a pas agi correctement, mais quelques fois, il tient mordicus à ce que ses souhaits et ses désirs soient réalisés. Après tout, c'est un peu ce que lui a fait vivre la vie de tournée. Chaque salle accomodait ses demandes les plus folles. (Il faisait parfois des tests pour voir jusqu'ou ils iraient et il a découvert qu'il n'y avait pas vraiment de limite.) Il s'est également découvert extrêmement jaloux suite à sa dernière relation. Une relation en dent de scie qui s'est terminée en queue de poisson, pas un grand succès, il sera le premier à l'admettre. Mais de voir des photos de sa copine avec un autre homme, les deux un peu trop proches à son goût, il n'a pas supporté et a fait une crise lorsqu'il lui a parlé le jour suivant. C'est en s'accusant l'un et l'autre que la relation s'est terminée. Il ne s'est jamais habitué à la perte de son anonymat, aux paparazzis. S'il ne s'en ai jamais fait outre mesure de voir son visage sur des journaux à potins et n'a jamais prêté attention à ce qu'on y racontait, c'est surtout le moment ou on le prend en photo qui le dérange. Qu'on dise ce qu'on veut sur lui, il s'en fout, mais qu'on vienne interrompre son quotidien, c'est ce qui l'agace par-dessus tout. C'est également le fait que ça touche les gens qui l'entourent. Impossible de passer une journée entre potes sans qu'une photo se retrouve sur le net (pas seulement l'instagram de ses amis) le lendemain. Il est également quelqu'un de simple qui se satisfait de petites choses comme des repas en famille ou sa mère cuisine une lasagne, la meilleure qui soit selon lui.

Que représente Fort-Myers pour toi ? T'y sens-tu bien ou à contrario, pas particulièrement bien ?
Fort Myers, c'est la maison. C'est la terre qui l'a vu naitre, c'est là ou il a grandit, ou il s'est développé jusqu'à devenir l'homme qu'il est. L'artiste qu'il est aujourd'hui. C'est Fort Myers qui l'a vu évoluer, grandit jusqu'à devenir un artiste accompli, qui l'a vu essuyer des revers pour toujours revenir plus fort. C'est le seul endroit au monde ou on le traite comme une personne normale, là ou on on ne se plie pas au moindre de ses désirs parce qu'on sait qui il est vraiment et qu'on ne le considère pas comme quelqu'un d'extraordinaire. Ç'a ses bons et ses moins bons côtés, mais ça le garde humble, c'est certain.

(growing up) Second enfant de la famille Hartley, Chuck n’a jamais vraiment vécu les difficultés que l’on associe toujours avec l’enfant du milieu. Jamais il ne s’est senti délaissé au profit des plus jeunes, jamais il n’a senti qu’on priorisait les accomplissements du plus vieux. Non, chacun des enfants Hartley avait sa place tout autant que les autres, était d’importance égale. Et sans doute que cet environnement sain a contribué grandement à ce que les enfants ne soient pas en éternelle compétition pour l’amour parental. Certes, ils ont connus leurs lots de disputes, c’est après tout signe d’une vie familiale saine que d’être en désaccord et de le dire de vive voix, s’engueuler pour un rien parfois. Mais au final, tout finissait par s’arranger et jamais on se faisait la gueule bien longtemps. (love your friends, die laughing) On dit que les amis sont la famille que l’on choisis et Chuck, il se sait extrêmement chanceux d’avoir une deuxième famille aussi merveilleuse. On aurait pu croire qu’avec le temps, on le traiterait différemment. C’était quelque chose qui l’effrayait, que leurs comportements envers lui changent, mais encore aujourd’hui, ils sont ce même petit groupe qu’il est impossible de séparer. Encore aujourd’hui, ils se retrouvent, lorsqu’ils en ont le temps, pour prendre une bière et parler de tout et de rien, refaire le monde. Encore aujourd’hui, ils agissent parfois comme des gamins à se charrier pour un rien. Qu’importe le temps qu’ils passent sans se voir, ça ne compte pas lorsqu’ils se retrouvent. (rollercoaster) Les gens ont bien souvent des idées préconçues de ce qu’est la vie de musicien. On ne voit souvent que le bon côté de la médaille. On voit les photos de l’artiste sur scène, les fans devant lui, les larmes coulant sur les joues, les bouches grandes ouvertes alors qu’ils chantent – ou crient – les paroles de leurs chansons favorites, les affiches sur lesquelles on peut lire les marques d’affection, comprendre à quel point de simples paroles ont pu changer une vie. On s’imagine que tout est rose, mais on ne voit que très rarement l’envers du décor. On n’a souvent pas conscience de tous les sacrifices qui ont du être faits pour atteindre un niveau certain de succès. On oublie souvent que, pour pouvoir être en spectacle à Londres, l’artiste a peut-être du décliner une invitation au mariage de son meilleur ami, ou encore la fête pour célébrer le troisième anniversaire de son neveu. On imagine les fêtes interminables, mais bien plus nombreuses sont les soirées passées à regarder la télévision seul dans une chambre d’hôtel après avoir décroché, puis raccroché, quatre fois le combiné parce qu’on avait envie de parler à la famille, mais qu’on s’est souvenu que le décalage horaire est une chose bien réelle et que sans doute les parents n’aimeraient pas se faire réveiller en pleine nuit juste pour discuter. Chuck, il pourrait vous en parler des revers de la médaille. Il pourrait vous raconter que certes, il essaie de compenser pour son absence en achetant des babioles bien souvent et que ça fait plaisir un instant, mais qu’au fond, rien ne peut remplacer le vide laissé par les absences répétées. Il vous répètera ce que tous lui disent lorsqu’il se confond en excuses de ne pas pouvoir être présent pour tel ou tel évènement, qu’ils comprennent. Il y a de ces jours ou il voudrait tout lâcher, vivre une vie paisible dans sa ville natale, mais sans doute comme tous les musiciens qui en ont fait une carrière, il vous dira aussi que l’appel de la scène est si fort qu’il est impossible d’y résister. Impossible d’abandonner tous ceux qui ont suivi sa carrière, qui l’ont supporté lors des bons et moins bons moments. Parce que ce n’est plus seulement que pour lui qu’il fait ce métier, il y a des centaines de milliers de personnes qui comptent sur lui et jamais il ne voudrait les décevoir. (celebrity status) Les articles l'ont parfois dépeint comme étant un enfant prodige, déclarant qu'il était né avec un don, comme si une quelconque divinité lui avait conféré des doigts et une voix d'or. Peut-être que c'est vrai que, déjà petit, il avait un talent certain, une facilité d'apprendre. Trois écoutes et il pouvait chanter une chanson du début à la fin. Peut-être que tout ça lui est venu relativement naturellement, mais de tout mettre sur le compte d'un talent surnaturel est de passer outre les heures qu'il a pu passer, une guitare à la main, à gratter les cordes. C'est oublier la douleur qu'il ressentait tandis que le bout de ses doigts en venait à saigner tellement il pratiquait. C'est de prétendre qu'il n'a jamais eu recours à quelque aide que ce soit alors qu'une équipe absolument incroyable l'a aidé à atteindre les sommets qu'il a pu connaitre. Alors lorsqu'on le qualifie d'enfant prodige, qu'on dit qu'il a un talent naturel et que tout ça est si facile pour lui, il s'empresse de rappeler à tous que sans un entourage fort, solide, prêt à le supporter coute que coute, il n'en serait pas là aujourd'hui. (cleanin' out my closet) Chuck n’a jamais été du genre provocateur. Évitant les controverses en tout genre autant que possible, il s’est pourtant, une seule fois, retrouvé au centre d’une d’entre elles. Ce n’était pas lui qui avait lancé l’assaut, on l’avait provoqué, et, après deux semaines à se faire poser sans cesse les mêmes questions, il en a eu assez et a répondu. Il n’a pas mâché ses mots et sans doute que ce jour-là, son manager, tout comme le reste de son équipe, ont rongé leur frein et se sont dit que c’était possiblement la fin de leur carrière. Après tout, les tabloïdes se sont amusés pendant des semaines à nourrir une rivalité qui n’était pas vraiment là. Ni Chuck, ni son rivale n’ont senti le besoin de répondre aux propos qui étaient avancés par les journalistes. Enfin, il y a eu quelques piques lancées ici et là, ce qui a enflammé le web quelques semaines de plus, les sondages à savoir qui sortirait grand vainqueur de ce duel qui n’en était pas vraiment un récoltant des centaines et des milliers de votes. (the phoenix) Il lui aura fallu près d’un an, à Chuck, pour réaliser qu’il était devenu tout ce qu’il ne voulait pas devenir. Un an à jouer la rockstar qui se croit plus importante que tout, un an à s’imaginer être le nombril du monde. Un an à faire la vie dure à tout ceux qui l’entourent. Je crois qu’il est temps pour moi, pour nous tous, de prendre une pause. Après tout, dix ans maintenant qu’il s’adonnait à son art sans s’être jamais réellement arrêté. Lorsqu’il n’était pas en tournée, il était en studio et vice versa. Les seules vacances qu’il s’était accordé étaient les congés pendant le temps des fêtes, mais jamais il n’avait pris le temps de s’arrêter, de souffler. Il aimait bien trop son métier, comment aurait-il pu faire autrement? Et puis, c’était ce qui lui permettait de vivre. Il voyait sa famille, ses amis, se tuer à l’ouvrage, alors comment aurait-il pu se la couler douce quelque part, sur une ile paradisiaque, sans se soucier de l’argent qui sort de son compte en banque? Il pouvait se le permettre, c’est vrai, mais ce n’était pas lui. C’était suffisant, après tout, que de se retrouver en famille de temps à autre. Du moins, ça l’avait été jusqu’ici. Jusqu’à ce qu’il voit son reflet un matin dans le miroir de la salle de bain de sa chambre d’hôtel et qu’il fasse le point sur sa vie, sur la façon dont il avait traité les gens autour de lui récemment et se rende compte qu’il s’était perdu. Une fois la tournée terminée, j’annonce une pause d’une durée indéterminée. Qu’il avait dit à son équipe ce matin-là. Une décision sans appel, quand bien même son management l’eut supplié de lancer un dernier album avant d’arrêter. Parce qu’ils s’imaginaient que c’était la fin. Non, c’était simplement ce qu’il avait mentionné, une pause. Un besoin de retrouver un équilibre perdue, de reconnecter avec tout ce qui l’a fait grandir pour devenir l’artiste accompli qu’il était maintenant. (love is on the radio) LIl l’a chanté l’amour, Chuck, plus souvent qu’autrement. Des ballades à faire chavirer les cœurs, des chansons plus rythmées qui parlent de la peine qu’il peut occasionner, il est passé par toute la gamme des émotions. Pourtant, il n’a jamais eu l’impression de vraiment le connaitre, l’amour. Peut-être ce que ce sont que des balivernes, ce que racontent les films d’Hollywood, mais il veut y croire. Peut-être qu’il espère trop être comme son père, un homme fier, époux exemplaire, présent. Non, il ne lui arrivera jamais à la cheville et il le sait. Ce n’est pourtant pas parce qu’il n’a pas essayé, Chuck, d’être amoureux. Il en a eu des histoires, toutes plus ou moins longues. Des idylles plus qu’autres choses. Il s’est amouraché de bien des demoiselles, mais ce n’était jamais ça. Toujours sa faute. Trop souvent absent. Pas assez disponible. Pas assez romantique, spontané. On s’attendait peut-être à ce qu’il prenne un vol juste pour passer quelques heures avec elle, mais Chuck, il a toujours été indépendant. Il aime, il n’est simplement pas le plus démonstratif. Il peut vous chanter l’amour, mais lorsque vient le temps de mettre ce qu’il clame haut et fort en pratique, ce n’est généralement pas une grande réussite. Il a besoin de quelqu’un qui soit aussi indépendant que lui, qui n’aie pas besoin d’un coup de fil ou d’un texto tous les jours. Il a besoin qu’on le laisse vivre sa vie, comme lui laisse les autres la vivre. (pretend) Ce que Chuck apprécie le plus des grandes villes c’est qu’il s’y sent anonyme. Il se fond dans la masse, chose qui lui arrive de moins en moins souvent. Ce n’est pas pour dire qu’on ne le reconnait jamais lorsqu’il se décide à profiter du peu de temps libre qu’il peut avoir lors d’un arrêt dans une ville, mais il y a de ces villes ou il passe inaperçu… tant qu’il ne croise pas un groupe de fans déterminé à le trouver. Et c’est dans une de ces grandes villes qu’il a rencontré celle qui devint sa première histoire d’amour, si on peut l’appeler ainsi. Rencontrée dans un café, quelque chose de bien banal, un café renversé sur son t-shirt, elle s’est confondue en excuse, lui offrant de lui en acheter un nouveau. Il s’était attendu à ce qu’elle le reconnaisse, qu’elle alerte les autres clients – parce qu’il y était presque habitué – mais elle ne fit rien de tout ça. Et ça c’était nouveau pour Chuck. Pour la première fois, il s’est présenté sous son véritable nom. C’est aussi la première fois qu’il a inventé quelque chose lorsqu’elle lui a demandé ce qu’il faisait dans la vie. Il ne voulait pas qu’elle sache. C’était si agréable de parler à quelqu’un qui ne connaissait pas les moindres détails de sa vie, qui ne s’intéressait pas à lui pour l’image qu’il renvoyait, mais pour qui il était réellement. Alors, il a prétendu faire un métier beaucoup plus simple, moins glamour. Et suite à cette conversation, elle est la première femme à qui il a donné son vrai numéro, pas un de ces faux, histoire qu’on ne le contacte pas. Ce n’était rien d’une grande romance, pas une histoire qu’on pourrait lire dans les bouquins. Une amitié plus qu’autre chose sans doute, mais au fil des jours, plus leur conversation progressait, plus Charles semblait s’amouracher d’elle. Puis, un jour, il a tout simplement cessé de lui parler. Parce que Chuck avait pris le dessus sur Charles. Parce qu’il y avait des choses plus importantes que les relations humaines, un standard à maintenir. Parce que Charles avait changé. (fix you) Peu importe à qui tu penses, je vais t’assurer que dans quelques minutes, elle aura disparu de ta tête. Les lèvres d’une jeune femme, blonde aux yeux bleus qui aurait plu à n’importe qui ou presque, touchèrent le cou de Chuck qui esquissa un léger rire. Ce n’était pas dans ses habitudes, ce genre de choses. Enfin, il fut un temps ou c’était peut-être plus récurent, mais plus maintenant. Seulement, sa tête était ailleurs et il avait besoin de distraction autre que la musique, besoin de quelque chose que sa guitare ne pouvait pas lui apporter, quelque chose de tangible. Les doigts effleurèrent sa peau, les lèvres se posèrent sur les siennes et Chuck y répondit avec fougue, prétextant que c’était ça dont il avait besoin. Les corps se mélangèrent et pendant un temps, il se perdit en elle… Jusqu’à ce qu’il la repousse. Il ne pouvait pas. Ce n’était pas ça, ce n’était pas sain. Il ne pouvait pas simplement se perdre dans les bras d’une femme qui, il en était certain, n’était là que pour pouvoir dire à ses amies qu’elle avait partagé son lit. Il ne pouvait pas faire semblant. Ce n’était pas lui. Quand bien même il le voulait, l’espérait, il ne pouvait faire semblant. Peut-être qu’elle pensait être un remède miracle, mais pas elle plus qu’une autre n’allait jouer au héro. Le cœur n’y était pas, le corps non plus. (transatlanticism) Passionné de tout ce qui définit une culture, Chuck tente le plus souvent possible de visiter les villes dans lesquelles il s’arrête. Que ce soit d’y visiter un musée, simplement se balader dans la ville pour y admirer l’architecture, faire un stop dans un restaurant local, c’est sans doute ce qu’il y a de mieux après les moments passés sur scène. Il se sait terriblement chanceux d’avoir pu visiter le monde, s’imprégner de différentes cultures et d’en emporter toujours un peu avec lui lorsqu’il revient à la maison. Ses villes favorites jusqu’à présent sont, sans ordre particulier, Berlin, Amsterdam, Londres, Tokyo, Mexico (le fait que les fans soient aussi dévoués a son charme), et Auckland. Il est d’ailleurs, depuis une visite à Auckland, fan de rugby, ayant assisté à un match des All Blacks. (en vrac) Il rêve d'un jour être celui qui se produira lors du spectacle de la mi-temps au superbowl. -- Il revient très rarement de tournée les mains vides. il a toujours un cadeau pour tous les membres de sa famille... et trois ou quatre pour son neveu. -- Fan de sport, il ouvre, à chaque année, les paris pour savoir quelles équipes se rendront en finale de leur sport respectif. -- Il s'entraine presque tous les jours, pour maintenir la forme plus qu'autre chose. -- Il suit toujours des cours de chant et croit que personne n'a la technique parfaite, que la voix, comme n'importe quel autre instrument, doit se pratiquer quotidiennement. -- Il a déjà du reporter une série de concerts parce qu'il était trop malade pour performer et ça lui a brisé le coeur. il ne reporte ses concerts qu'en cas de force majeure. -- Le moment le plus irréel qu'il a vécu est lorsqu'on l'a invité à performer avec Stevie Wonder lors d'une cérémonie de remise de prix. Encore aujourd'hui, il peine à croire que ça lui soit vraiment arrivé. -- S'il pouvait remonter le temps et assister à un concert, il choisirait un concert de Queen. -- S'il pouvait rencontrer un artiste, vivant ou non, il choisirait d'avoir une discussion avec Kurt Cobain. Il a d'ailleurs la discographie entière de Nirvana. (Celle de Queen aussi.) -- Il est un piètre cuisinier et est un abonné du resto de sushis à trois coins de rue de chez lui lorsqu'il est de retour en ville.

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@Roz Roscoe mille merci (chasing happiness) 2201480436

ce sera un plaisir de discuter lorsque j'aurai terminé ma fiche.

jonas, ce choix **
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