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mise en avantmaï - abeliya - luka
Days like these est à forum sans contexte, se passant dans une ville réelle du nom de Fort Myers, en Floride. Baignée sous le soleil une grande partie de l'année, ambiance caliente, détente, propice aux vacances réussis et aux soirées fantasmagorique, venez vous y prélasser sans prise de texte. Forum qui ne se veut pas grand, mais avec une communauté, et des membres qui se sentent bien. Pas délaissé comme sur la plupart des forums. Peu de contrainte, que de la détente et du fun.
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-  the night we met (gareth) -

DAYS LIKE THESE. :: fort myers, florida, usa. :: eastwood village quartier atypique :: the houses habitations
Nola WintersSEARCH FOR THE PRECIOUS.
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Nola Winters
infos générales
sms :  20 dollars ($) :  41
name :  vlastuin/marie.
multinicks :  merino (d. guerrero)
faceclaim :  j. coleman (avatar: unwanted)
 

age :  la trentaine qui te pèse lourdement, ton visage enfantin qui cache le temps qui file.
career :  infirmière, tu te sens à ton meilleur lorsque tu aides ton prochain.
civil status :  récemment séparée, tu essayes de recoller tous tes morceaux du mieux que tu peux pour le bien-être de ta fille.
address :  eastwood village.
fiche de liens :   ★★★
plus de détails
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(#) the night we met (gareth) { Mer 27 Mai - 13:26 }
tumblr_inline_p3e4myLJwq1qlt39u_250.gifvTu étouffes un peu, à vivre chez tes paternels pour la première fois depuis l’université. C’est pas que tu n’es pas reconnaissante pour tout ce qu’ils font pour toi. C’est pas non plus que t’aimes pas leur aide avec Juliette ou que t’es pas contente de finalement avoir la chance de passer du temps de qualité avec eux. T’es tellement contente de les avoir proches, de pouvoir te relaxer un peu toi qui a littéralement passer les dernières années à marcher sur un fil de fer avec la peur continue de déplaire. Mais tu ne te sens pas tout à fait à ta place, dans cette maison qui t’as vu grandir. Comme si tu avais du mal à accepter que tu devais faire cet immense pas en arrière pour pouvoir mieux avancer ensuite. T’aimes pas avoir l’impression de faire du sur place dans ta vie, même si la réalité est que t’es prisonnière du même cercle vicieux depuis bien trop longtemps déjà. Tu as réussi à t’en sortir. À mettre la violence et le contrôle derrière toi, du moins pour le moment. T’as réussi à venir faire ce pas de reculons pour t’offrir un meilleur avenir, pour offrir à ta fille de bien meilleures conditions. Et même si tu continues de tourner tout le positif de cette situation temporaire dans ta tête, tu continues de te sentir de trop. D’avoir l’impression que tu devrais déjà t’être trouver un appartement, être dans tes propres choses, dans ton propre espace. Enfin offrir à Juliette une maison ou elle pourra grandir sereinement, ou du moins, le plus sereinement possible dans la situation actuelle. La vérité est que tout prend plus de temps que tu ne te l’étais imaginée. Tu attends encore un appel de retour pour un emploi possible à l’hôpital et tu peines à trouver un appartement ou une maison à louer qui te plaise réellement. Ça fait plusieurs semaines déjà que tu as quitté Ben et tu t’imaginais déjà une petite vie bien ranger à ce stade-ci. La réalité t’attriste un peu, même si tu profites de l’immense générosité de tes pères. Ils essayent aussi de t’encourager à reprendre contact avec ta sœur jumelle, chose que tu repousses constamment. Pas prête à faire aux conséquences de tes gestes, de tes paroles. Pas prête à te faire pardonner parce que tu ne t’es pas pardonner toi-même. Comment le pourrais-tu? T’avais été tellement idiote de croire que Ben pourrait changer. Tellement idiote de te mettre ta sœur à dos pour quelqu’un qui te faisait du mal continuellement. Tellement idiote de croire que l’amour pouvait gagner sur tous les fronts.

T’as la tête qu déborde de souvenirs et d’émotions alors tu décides que la meilleure solution pour t’éclairer l’esprit c’est de mettre la petite dans sa poussette et d’aller prendre une marche. L’air est chaud et humide, bien plus agréable que la température à  New York à la même période de l’année. Tu ne portes qu’une légère robe d’été, te sentant enfin confortable à l’idée de porter des vêtements qui ne couvrent pas la totalité de ton corps. Il n’y a plus d’hématomes ou ecchymoses  sur ta peau, que des cicatrices qui ne se voient pas à moins d’être très près.  T’es en train de chanter doucement une comptine à ta Juliette qui vacille dangereusement entre l’éveil et le sommeil et tu souris tendrement lorsque ses yeux se ferment enfin, et elle relaxe complètement alors qu’elle rejoint ce que tu espères être le doux monde des rêves. T’es occupée à replacer la douce mousseline sur elle et tu n’aperçois pas le jeune homme qui vient de tourner sur le coin de la rue. C’est alors que la poussette s’arrête subitement que tu réalises ce que tu viens de faire. L’homme semble aussi surpris que toi par l’altercation et t’es tellement secouée que tu ne prends pas le temps de voir qui se trouve devant toi. « Oh mon dieu, je suis tellement désolée. J’vous ai pas vu arriver. Excusez-moi! » Tu sens la gêne qui te monte au visage et teinte tes joues de roses alors que tu ravales des larmes. C’est plus fort que toi, la simple idée d’avoir contrarier cet homme te terrifie, les conséquences de mauvais souvenirs collés à ta peau. Tu prends une grande respiration et t’attardes finalement au visage de celui qui te fait face. Tu connais ce visage. Tu le reconnaîtrais entre mille, malgré la décennie qui a filé entre vous. « Reth..? Gareth Holt? » C’est une toute autre gamme de souvenirs qui t’envahissent soudainement. T’as même pas vingt ans, l’insouciance de la jeunesse plein le visage, ça te semble être une autre vie vous deux. Pourtant t’as éternellement ce pincement au coeur lorsque tu penses à lui, ça pince encore plus fort maintenant qu’il est là devant toi. « J’ignorais que tu étais encore à Fort Myers. Ça fait plaisir de te voir. » Il a l’air fatigué, tu ne peux t’empêcher de le remarquer. Tu lui souris tendrement, à cet amour de jeunesse. Tu te demandes de quoi aurait pu avoir l’air ta vie si vous vous étiez donner une vraie chance. You will never know.


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