événements en cours Se déroule actuellement un action-vérité, les sujets sont clôs aux inscriptions. Autres événements à venir... ‹ Un topic-commun est actuellement disponible.Un ouragan s’abat actuellement sur la ville, merci d'en tenir compte dans vos prochains RP !
mise en avantmaï - abeliya - luka
Days like these est à forum sans contexte, se passant dans une ville réelle du nom de Fort Myers, en Floride. Baignée sous le soleil une grande partie de l'année, ambiance caliente, détente, propice aux vacances réussis et aux soirées fantasmagorique, venez vous y prélasser sans prise de texte. Forum qui ne se veut pas grand, mais avec une communauté, et des membres qui se sentent bien. Pas délaissé comme sur la plupart des forums. Peu de contrainte, que de la détente et du fun.
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

-  what an awful mess -

DAYS LIKE THESE. :: benefit of the doubt :: gestion personnages
InvitéInvité
Anonymous
infos générales
plus de détails
-
what an awful mess Empty
(#) what an awful mess { Mer 29 Avr - 7:25 }
boo kovack feat bridget satterlee
naissance : qu'est-ce que ça veut dire, la vingtaine ? un égarement dans la société. jamais savoir regarder devant et trop s'attarder à ce qu'on n'a pas entamé. les saveurs de la révoltes et des responsabilités aussi acide qu'un coup dans le ventre. t'as vingt-trois ans et t'as les douleurs d'une vie entière sur les épaules. et chaque bougie soufflée le neuf février ne fait que jeter une poignée de terre de plus dans tes poumons. les gens viennent d'ailleurs par millier pour profiter du sable fin de fort myers. toi tu te noies sous les vagues.

origines, nationalités : le bout du nez rougit par le soleil que ton corps ne semble pas s'habituer. âme solitaire des nuits, forcée à plisser les yeux le jour. tu pourrais t'inventer une histoire, mais elle est cicatrisée sur ton corps. américaine de sang et de faux espoirs. tu as peut-être redressé la tête trop tard pour te souhaiter un avenir d'or. condamnée à gratter la cendre comme tes parents l'ont fait.

statut civil, orientation : tu n'as jamais su si tu devais avoir honte. honte d'avoir les sentiments à la renverse. l'amour cassée. honte d'aimer trop facilement et de te défaire aussi rapidement. tomber amoureuse d'un regard et désirer jusqu'à ne plus savoir quoi faire de ton corps, quoi faire de tes nuits. l'amour, c'est que des maux de têtes pour toi. des numéros que tu ne rappelles pas. des regrets dans les draps. peut-être qu'avec des filles, ça serait différent ? mais c'est dans les bras des garçons, qu'tu te casses le coeur.

situation financière : $$$$$$, c'est pas comme si tu as déjà rêvé à plus de billets, à plus d'honneur. t'as toujours raclée le bitume et passer tes mains dans les sac-à-mains d'étrangères. et ces vieux qui ne savent pas enfoncer leur porte-monnaie comme il se doit dans leur poche arrière. ou ces touristes trop innocents. évidemment qu'à vingt-trois ans, tu t'es un peu placé. pas forcément pour le mieux, mais ça t'évite la police aux talons.  

occupation :  la casquette sur le front, le petit ventilateur accroché sur le plafond. il fonctionne très peu, les batteries sont peut-être entrain de rendre l'âme. pas autant que toi. toi qui regarde les vagues et qui écoutent les rires au-delà ta petite radio. toi qui crève de chaud parce que tu oublies souvent d'enfiler un tee-shirt. toi qui rencontres plus souvent qu'autrement ton patron parce que tu t'es enfilé trois glaces gratuites. tu travailles dans la petite cabane à produits glacés sur la plage, un peu à l'ombre. t'emmerdes généralement tes potes qui viennent t'embêter.

situation familiale : pour toi, ils ont fait exprès. exprès de te manipuler au point de te chasser. au point que tu te terres comme un animal effrayé. les sanglots ravalés. ton frère est le seul qui peut encore cogner à la porte et qui ne subit pas ta colère. qui récolte tes larmes et ton corps faible. c'est le seul qui constitue une famille alors que tu chasses l'idées même d'être le résultat des kovack. tu te sens bien où t'es, maintenant. même si tu regardes encore trop souvent au-dessus ton épaule pour être certaine que t'as coupé tous les liens et que t'as fait exploser tous les ponts.

à fort myers depuis : tes premiers rêves et tes premiers cauchemars. ta première déception et ta lourde dépression. depuis toujours, au moindre clignement des yeux, au moindre larmes. tu essaies de regarder le soleil et l'apprécier pour ce qu'il offre. comme si le soleil de fort myers est différent de celui d'ailleurs. parce que t'as pas assez de courage pour t'aventurer vers des routes inconnues. à pied, le pouce levé.

onetwo
le visage neutre aux couteaux tirés. on ne sait jamais s'il est sain de t'approcher. il est peut-être rare ton sourire, mais il ne se dissimule pas derrière une morsure. un râle peut-être, parce qu'en effet, tu ne veux pas être dérangée. mais tu rejettes rarement celui qui t'approches. les émotions effleurent de peine ton visage qui préfère parler par les yeux. tu n'es pas de beaucoup de mots, mais tu régis en action. celle qui veut se faire entendre d'un poing avant d'être les mots qui calment. parce que malgré ta vivacité et ta visible rage, tu as une sagesse qui conseille parfois. un peu dans l'insulte et dans le jugement, mais ce n'est jamais sans mauvais fondement. tu n'es pas une bitch. tu ne lèves pas le menton devant les autres et tu as conscience que tu n'es pas supérieure à personne. tu connais seulement ta place dans le monde. même si elle doit être six pieds sous terre. certains s'énervent de tes crises parfois incontrôlés. de tes portes claquées et de ta vaisselle fracassées. et comme tu n'ouvres pas ton coeur et que tu ne montres pas tes blessures, personne ne peut réellement t'aider. alors que tu es la première à tendre la main discrètement et qui n'abandonne jamais un ami. tu écoutes, tu es là, jamais très loin. roulement de langue sur un peu de sarcasme et d'ironie. incapable de gérer les questions stupides et les raisonnements à deux balles. certains pensent à mettre leur main devant ta bouche lorsqu'ils savent que tu vas trop loin. peut-être des filtres manquants. une gêne inexistante malgré une pudeur de surface. un désir de contact, de réactions futiles, de douceur et de chaleur. puis tu alimentes le feu par le feu, parce que tu ne sais pas entretenir le calme. toujours la tempête.
RPS EN COURS :
www prénom
www prénom
www prénom

RPS TERMINÉS :
www prénom
www prénom
www prénom
(un) les pièces cachées sous le plancher. trouvées dans les craques du canapé. quand tu trouves un billet, tu peux aller t'acheter des bonbons si maman est de bonne humeur. sinon, tu hérites d'une tape derrière le crâne et on te traite de voleuse. c'est tout ou rien, chez les kovack. et en vieillissant, ça a empiré au lieu de se calmer. tu n'as jamais su ce que tu as fait de mal pour mériter des regards aussi mauvais. parfois tu ne parviens à rien faire d'autre que te cacher dans le dos de ton frère. maman te fait peur. papa, davantage. (deux) tu cognes à la porte. papa tire le rideau et te regarde. il te fait signe de montrer tes mains et le fond de tes poches. parce que si tu ne parviens pas à voler quelque chose de satisfaisant, tu cachais des roches dans tes poches pour faire semblant. et ils l'ont su. depuis, si tu n'avais rien en main, tu ne rentrais pas à la maison. tu n'as jamais voulu vivre ainsi, c'était devenu une obligation plus qu'un choix. (trois) ton crayon rature le coin du bureau. à la fois ennuyée par la matière ou l'âme volée par la vie. tu n'écoutes pas, mais tes notes n'en souffrent pas, étonnamment. les professeurs n'appréciaient pas tes absences, mais si tes notes étaient parfois dignes d'un étudiant modèle, ils ne disaient rien. ils ont connu ton frère, ils savaient dans quelle famille tu souffrais. parce que oui, souffrir était possiblement le meilleur verbe descriptif.  (quatre) tu joues avec tes lacets, le menton appuyé sur l'un de tes genoux. tu te fais toute petite dans ta chaise lorsqu'un intervenant te pose des questions. parce qu'un adulte a vu les marques sur tes bras lors de la remise de ta dernière copie. il évite les questions trop douloureuses. il te demande ce que tu aimerais faire plus tard. tu n'as jamais eu de réponse. par manque de passion et d'attachement. tu voulais seulement vivre en paix. et cette réponse n'a jamais été la bonne. (cinq) maman prend ton visage entre ses deux mains sèches et elle te force à la regarder dans les yeux. son pouce caresse tes lèvres et dans son sourire s'égare les intentions malignes. tu ne sais pas ce qu'elle fait, tu ne veux même pas comprendre. elle qui t'analyse assez pour te sous-estimer. et que dans des mots poignants, elle te forge une identité d'objets. tu es si jolie, les hommes pourraient payer cher. tu as chassé sa main, à défaut de ne pas pouvoir frapper une femme, ta mère. tu as crié, parce que tu ne savais pas utiliser aucun mot. puis tu es partie. (six) tu tiens l'assiette dans tes doigts tremblants. tu es fatiguée. alors que tu pensais être entourée de gens fiables, il n'y avait personne qui répondait à ta douleur. et tu souffrais trop d'un égo démesuré pour demander à ton frère de te cacher dans sa chambre à la maison. parfois, tu te retrouvais à dormir dans la petite entrepôt du restaurant. tu sais que si on te découvre ou qu'on t'en parle, tu démissionneras.  (sept) t'es assise sur le coin de ton matelas. ton matelas. tu regardes chaque coin de la pièce puis la porte que tu as maintenue fermée, trop longtemps. la seule boite qui t'appartiens jonche encore le sol sans l'anticipation de l'ouvrir. tu souris, à toi-même et tu te laisses tomber par derrière pour regarder le plafond. le plafond et son histoire. tu entends cogner à ta porte, et tu ne sais pas quoi faire. faire la morte, ou finalement vivre. (huit) tu tiens l'enveloppe contre ta poitrine. il y a près d'un an que tu devais leur redonner l'argent, mais tu étais incapable d'amasser. généralement, ce n'est pas la manière de le faire, mais tu avais fait la demande aux autorités pour rendre le dédommagement monétaire par toi-même. tu te tiens à l'extérieur du petit marché. grande respiration et tu t'avances. ce n'est pas un sourire qui t'accueilles. c'est un commentaire dégradant. tu fronces les sourcils. ouvre l'enveloppe que tu fais voler le contenu partout et tu les envoies chier. manière boo. meilleure manière.  (neuf) numéro privé. ton téléphone vibre contre le comptoir. tu n'es pas censé le laisser sorti pendant les heures de travail, mais personne ne venait t'acheter quoi que ce soit. et tu t'ennuyais. un cornet à la main, tu laisses l'appareil vibrer. tu sais que c'est l'un de tes parents. qu'ils ont trouvé ton numéro de téléphone en fouillant celui de ton frère. tu les évites comme la pègre. tu veux surtout qu'ils t'oublient. parce qu'ils seraient les premiers à te dire que tu leurs doit de l'argent. (dix) comme une vague d'angoisse qui longe ta nuque jusqu'à tes oreilles. petit grésillement qui te rend folle à la seule idée de le voir. tu n'avais pas le choix de l'appeler lui, parce que tu es coincée sur un trottoir complètement défoncée. et ce simple fait, de revoir son visage semblait te dégriser d'un coup. tu n'as pas l'habitude de boire jusqu'à la perte de contrôle. c'était peut-être une défaite pour faire semblant de ne pas être consciente de tes gestes.

Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous
infos générales
plus de détails
-
what an awful mess Empty
(#) Re: what an awful mess { Mer 29 Avr - 7:26 }
+1

(je risque de ne pas m'étaler plus que ça)
je vais dormir maintenant
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous
infos générales
plus de détails
-
what an awful mess Empty
(#) Re: what an awful mess { Ven 1 Mai - 12:19 }
:must: :must:
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous
infos générales
plus de détails
-
what an awful mess Empty
(#) Re: what an awful mess { Ven 1 Mai - 19:29 }
@Boo Kovack puis-je ? what an awful mess 4034935494
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
infos générales
plus de détails
-
what an awful mess Empty
(#) Re: what an awful mess { }
Revenir en haut Aller en bas
 
- what an awful mess -
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
»  a hot mess. (myra)
» your mess is mine (anissa)
» It's nothing less than true romance Or am I just making a mess
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DAYS LIKE THESE. :: benefit of the doubt :: gestion personnages-
Sauter vers: